L'évolution des tranchées
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Re: L'évolution des tranchées
salut les mecs
pas vraimant du neuf mais toujours interessant
on etais pas mal avec notre technique de confections des claies : voir photos des femmes à Villers St Etienne dans le lien qui suit
http://www.ecpad.fr/des-villages-en-ruine-et-les-premieres-lignes-du-saillant-de-saint-mihiel-en-juillet-1916
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Barth
pas vraimant du neuf mais toujours interessant
on etais pas mal avec notre technique de confections des claies : voir photos des femmes à Villers St Etienne dans le lien qui suit
http://www.ecpad.fr/des-villages-en-ruine-et-les-premieres-lignes-du-saillant-de-saint-mihiel-en-juillet-1916
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Barth
barth- Messages : 172
Date d'inscription : 10/01/2012
Re: L'évolution des tranchées
salut a tous
premier jet
Lorsque éclate la première guerre mondiale tous les belligérants imaginent une guerre courte, mais face à l’évolution de l’artillerie et l’emploie massifs de la mitrailleuses, les armées en campagne se trouvent dans l’obligation de s’enterrer. Au début se ne sont que de simple troue aménager pour stopper une contre attaque, ou pour servir de base de départ pour reprendre l’offensive au plus vite. Les matériaux utiliser pour la réalisation de ces travaux sont directement prélever sur la zone de constructions. Fin 1914 , devant l’ impossibilité de percer le front et constamment harceler par l’ artillerie , ces aménagements sommaire se transforment très vite de part et d’autre en abris d’ observation, abris caverne ou en poste de tir. Ces fortifications de terrain sont reliées ensemble par un réseau de tranchées profondes et étroites. (Photo tranchée sommaire).
Les postes de tir sont protégés par un parapet de remblais dans lequel on insère des créneaux. Pour lutter contre l’érosion du aux intempérie, les terrassements sont rarement laisser nu et bénéficie d’un revêtement de claie, ou encore de planche. (Photo d’une tranchée de tir un peu plus évoluer, rondin, créneau sommaire, claie).
L’emploie de l’artillerie lourde de tranchée occasionne des dégâts important et l’entretien quotidien nécessite des ressources matériels formidables. Les forets proches du front, épargnées par les bombardements, fournissent les ressources en rondins et autres branchages pour la confection des claies et des gabions. Les villages occupés de l’arrière et leurs habitants subissent des réquisitions. Dans les secteurs dits « calme » le béton fait sont apparitions et on construit, à l’arrière proche, des centrale à béton. L’emploie du « sac à terre » se généralise (Photo d’une tranchée en sac à terre).
Au fil des mois, et suivant les prescriptions des divers manuels d’instruction, un standard apparaît. On accède au parapet en montant sur une banquette de tir, laissant le chemin libre en arrière pour l’évacuation des blessés. (Croquis extrait du « manuel du chef de section). A certain endroit spécifique, on dispose dans le talus intérieur des caisses pour stocker les cartouches, les grenades, ou les appareils de signalisations. Le parapet du début évolue également avec l’arriver en première ligne d’un panel de nouveaux matériels adapter. Le créneau improviser en planche de caisse à cartouches est remplacé par des plaques de blindage en acier, avec opercules pivotant permettant l’observation mais aussi le tir au fusil. On voit apparaître toute sorte de télescope et autre binoculaire, et tout le réseau est parcouru par des lignes téléphoniques. Des pompes pour l’évacuation des eaux d’infiltration sont disposées aux endroits nécessaires. Quant la nature du terrain le permet, on remplace le clayonnage périssable par le maçonnage des pierres du talus. On dispose au fond de la tranchée des caillebotis en bois pour éviter de patauger dans la boue. (Photo d’une tranchée évoluée avec le maximum d’élément type bouclier, périscope etc.…). Malgré tous ces aménagements de protections et « de confort », la première ligne reste une zone pénible pour le combattant, confronté aux parasites, aux nuisibles et constamment en danger de mort.
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Barth
ps sorry pour les fautes
premier jet
Lorsque éclate la première guerre mondiale tous les belligérants imaginent une guerre courte, mais face à l’évolution de l’artillerie et l’emploie massifs de la mitrailleuses, les armées en campagne se trouvent dans l’obligation de s’enterrer. Au début se ne sont que de simple troue aménager pour stopper une contre attaque, ou pour servir de base de départ pour reprendre l’offensive au plus vite. Les matériaux utiliser pour la réalisation de ces travaux sont directement prélever sur la zone de constructions. Fin 1914 , devant l’ impossibilité de percer le front et constamment harceler par l’ artillerie , ces aménagements sommaire se transforment très vite de part et d’autre en abris d’ observation, abris caverne ou en poste de tir. Ces fortifications de terrain sont reliées ensemble par un réseau de tranchées profondes et étroites. (Photo tranchée sommaire).
Les postes de tir sont protégés par un parapet de remblais dans lequel on insère des créneaux. Pour lutter contre l’érosion du aux intempérie, les terrassements sont rarement laisser nu et bénéficie d’un revêtement de claie, ou encore de planche. (Photo d’une tranchée de tir un peu plus évoluer, rondin, créneau sommaire, claie).
L’emploie de l’artillerie lourde de tranchée occasionne des dégâts important et l’entretien quotidien nécessite des ressources matériels formidables. Les forets proches du front, épargnées par les bombardements, fournissent les ressources en rondins et autres branchages pour la confection des claies et des gabions. Les villages occupés de l’arrière et leurs habitants subissent des réquisitions. Dans les secteurs dits « calme » le béton fait sont apparitions et on construit, à l’arrière proche, des centrale à béton. L’emploie du « sac à terre » se généralise (Photo d’une tranchée en sac à terre).
Au fil des mois, et suivant les prescriptions des divers manuels d’instruction, un standard apparaît. On accède au parapet en montant sur une banquette de tir, laissant le chemin libre en arrière pour l’évacuation des blessés. (Croquis extrait du « manuel du chef de section). A certain endroit spécifique, on dispose dans le talus intérieur des caisses pour stocker les cartouches, les grenades, ou les appareils de signalisations. Le parapet du début évolue également avec l’arriver en première ligne d’un panel de nouveaux matériels adapter. Le créneau improviser en planche de caisse à cartouches est remplacé par des plaques de blindage en acier, avec opercules pivotant permettant l’observation mais aussi le tir au fusil. On voit apparaître toute sorte de télescope et autre binoculaire, et tout le réseau est parcouru par des lignes téléphoniques. Des pompes pour l’évacuation des eaux d’infiltration sont disposées aux endroits nécessaires. Quant la nature du terrain le permet, on remplace le clayonnage périssable par le maçonnage des pierres du talus. On dispose au fond de la tranchée des caillebotis en bois pour éviter de patauger dans la boue. (Photo d’une tranchée évoluée avec le maximum d’élément type bouclier, périscope etc.…). Malgré tous ces aménagements de protections et « de confort », la première ligne reste une zone pénible pour le combattant, confronté aux parasites, aux nuisibles et constamment en danger de mort.
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Barth
ps sorry pour les fautes
barth- Messages : 172
Date d'inscription : 10/01/2012
Re: L'évolution des tranchées
Salut Barth.
Il faut prendre garde à ne pas répéter ce qui à déja dit sur les différents panneaux. Cela risque de faire doublon. Avoir.
Tu connais mon opinion sur la longueur des textes
@+Phil.
Il faut prendre garde à ne pas répéter ce qui à déja dit sur les différents panneaux. Cela risque de faire doublon. Avoir.
Tu connais mon opinion sur la longueur des textes
@+Phil.
Invité- Invité
Re: L'évolution des tranchées
salut phil
oui , je comprend
c'est pas facile d'eviter les doublons
a plus
Barth
oui , je comprend
c'est pas facile d'eviter les doublons
a plus
Barth
barth- Messages : 172
Date d'inscription : 10/01/2012
Re: L'évolution des tranchées
Salut à tous,
Richard, OK pour ta photo, mais merci de me la fournir avec une résolution JPEG de 600 dpi et uniquement la zone à reproduire.
Je pense qu'il faut certainement renommer notre panneau, puisque nous ne sommes pas vraiment dans les techniques de constructions, mais plus dans l'évolution des aménagements.
De manière à éviter les doublons avec les autres panneaux et de rester dans les idées de Richard collant à ce panneau, je vous propose donc le texte suivant, dans lequel il peut rester quelques fautes que je vais corriger par la suite si vous le validez. Texte un peu moins long ce qui va plaire à Phil.
Les photos associées seront dans un prochain message.
L'évolution des tranchées
Lorsqu’éclate le conflit, tous les belligérants imaginent une guerre de courte durée, mais très vite il en est tout autrement et les armées en campagne se trouvent dans l’obligation de s’enterrer. Au début, les positions ne se composent que de simples trous individuels qui sont reliés les uns aux autres pour organiser un système défensif continue. Le réseau va alors s’étoffer en profondeur avec le temps et les positions se renforcer. Là où les positions sont trop exposées, les soldats ont recours à l’emploi de sacs à terre. Ils sont remplis au dernier moment in situ par les soldats se faisant la chaîne jusqu’à la position à renforcer ou aménager. Ceux situés les plus en avant les entassant par couches de manière à constituer le parapet.
Avec l’arrivée du mauvais temps, les combattants sont rapidement confrontés à l’effondrement des retranchements consécutifs aux coulées de boue, sans parler des dégradations quotidiennes dues à l’artillerie. Les soldats se plaignent d'avoir les pieds dans l'eau et la boue ce qui développe des engelures donnant parfois lieu à des amputations. Pour maintenir les positions en état, les parapets et parados sont revêtus de claies ou de planches et des caillebotis sont aménagés dans le fond des tranchées. Les matériaux utilisés pour la réalisation de ces travaux sont directement prélevés sur place. Les forêts sont alors pillées pour fournir les ressources nécessaires à ces aménagements.
Après les offensives du printemps de 1915, le secteur est jugé plus calme et les belligérants en profitent pour renforcer leurs positions. Le béton fait alors son apparition aux endroits stratégiques et la nature du sol est utilisée au mieux dans l'aménagement des retranchements. Ces divers travaux permettent d'améliorer la ligne de feu et l'organisation du champ de bataille, ainsi que les conditions de vie des combattants.
Richard, OK pour ta photo, mais merci de me la fournir avec une résolution JPEG de 600 dpi et uniquement la zone à reproduire.
Je pense qu'il faut certainement renommer notre panneau, puisque nous ne sommes pas vraiment dans les techniques de constructions, mais plus dans l'évolution des aménagements.
De manière à éviter les doublons avec les autres panneaux et de rester dans les idées de Richard collant à ce panneau, je vous propose donc le texte suivant, dans lequel il peut rester quelques fautes que je vais corriger par la suite si vous le validez. Texte un peu moins long ce qui va plaire à Phil.
Les photos associées seront dans un prochain message.
L'évolution des tranchées
Lorsqu’éclate le conflit, tous les belligérants imaginent une guerre de courte durée, mais très vite il en est tout autrement et les armées en campagne se trouvent dans l’obligation de s’enterrer. Au début, les positions ne se composent que de simples trous individuels qui sont reliés les uns aux autres pour organiser un système défensif continue. Le réseau va alors s’étoffer en profondeur avec le temps et les positions se renforcer. Là où les positions sont trop exposées, les soldats ont recours à l’emploi de sacs à terre. Ils sont remplis au dernier moment in situ par les soldats se faisant la chaîne jusqu’à la position à renforcer ou aménager. Ceux situés les plus en avant les entassant par couches de manière à constituer le parapet.
Avec l’arrivée du mauvais temps, les combattants sont rapidement confrontés à l’effondrement des retranchements consécutifs aux coulées de boue, sans parler des dégradations quotidiennes dues à l’artillerie. Les soldats se plaignent d'avoir les pieds dans l'eau et la boue ce qui développe des engelures donnant parfois lieu à des amputations. Pour maintenir les positions en état, les parapets et parados sont revêtus de claies ou de planches et des caillebotis sont aménagés dans le fond des tranchées. Les matériaux utilisés pour la réalisation de ces travaux sont directement prélevés sur place. Les forêts sont alors pillées pour fournir les ressources nécessaires à ces aménagements.
Après les offensives du printemps de 1915, le secteur est jugé plus calme et les belligérants en profitent pour renforcer leurs positions. Le béton fait alors son apparition aux endroits stratégiques et la nature du sol est utilisée au mieux dans l'aménagement des retranchements. Ces divers travaux permettent d'améliorer la ligne de feu et l'organisation du champ de bataille, ainsi que les conditions de vie des combattants.
Frédo- Messages : 116
Date d'inscription : 11/01/2012
Re: L'évolution des tranchées
la photo n° 5 est superbe. tout y est ou presque,,, le periscope , niche à mun,,, les flingues
cette photo ne peut echapper a un de nos panneau
pour le texte, moi , sa me va ,,,, sa reste simple et efficace .
la photo proposer a servie pour l' etude de la reconstitution. 600 dpi dans peut de temp
a plus
Barth
cette photo ne peut echapper a un de nos panneau
pour le texte, moi , sa me va ,,,, sa reste simple et efficace .
la photo proposer a servie pour l' etude de la reconstitution. 600 dpi dans peut de temp
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Barth
barth- Messages : 172
Date d'inscription : 10/01/2012
Re: L'évolution des tranchées
Salut Richard et tous,
Le but est de mettre l'intégralité de ces documents qui permettent de voir l'évolution des techniques et types de constructions sur notre secteur, hormis les tranchées bétonnées et maçonnées pour lesquelles je n'ai vraiment pas grand chose.
Si quelqu'un a un bon feeling avec Huret, il est urgent qu'il nous vienne en aide pour ces deux types de clichés.
Ta photo peut remplacer la mienne mise en 3e position.
Amitiés.
Frédéric
PS : j'essaye de livrer les coups de mains ce soir ou demain.
Le but est de mettre l'intégralité de ces documents qui permettent de voir l'évolution des techniques et types de constructions sur notre secteur, hormis les tranchées bétonnées et maçonnées pour lesquelles je n'ai vraiment pas grand chose.
Si quelqu'un a un bon feeling avec Huret, il est urgent qu'il nous vienne en aide pour ces deux types de clichés.
Ta photo peut remplacer la mienne mise en 3e position.
Amitiés.
Frédéric
PS : j'essaye de livrer les coups de mains ce soir ou demain.
Frédo- Messages : 116
Date d'inscription : 11/01/2012
l'évolution des tranchées
salut à tous
superbe photos de tous, le texte est OK
A+
superbe photos de tous, le texte est OK
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président- Messages : 15
Date d'inscription : 10/02/2012
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